L’orchestre « Negro Jazz »
L’orchestre Negro Jazz, est créé en 1954 à Brazzaville sous la direction du guitariste Joseph Kaba, et il est domicilié au dancing club «chez Faignond». On y trouve des musiciens, comme Essous Jean Serge, Nino Malapet, Beniamino Bienvenu, Edo Ganga, Celestin Kouka, Bruno Yengo, Emmanuel Galiba, etc. Peu après, Guy Léon Fylla reprend la direction de l’orchestre, à la place de Joseph Kaba.
Lors d’une prestation d’African Jazz de Joseph Kabasele, dit «Grand Kallé», au dancing club chez Faignond, l’orchestre Negro Jazz joue la première partie. Joseph Kabasele très satisfait de ces jeunes qui commencent dans le métier, en parle à son ami musicien et imprésario Henri Bowane à son retour à Léopoldville (Kinshasa). A l’époque, ce dernier est aussi manager artistique aux éditions Loningisa, chargé de découvrir les jeunes talents. Joseph Kabasele promet à Henri Bowane de le ramener de Brazzaville à son prochain concert.
En Janvier 1955 Joseph Kabasele et Henri Bowane se rendent comme prévu à Brazzaville. Henri Bowane constate de ses propres yeux, et propose à l’orchestre Negro Jazz, un contrat pour s’installer à Kinshasa. Tous les musiciens répondent favorablement, et tout l’orchestre décide de s’installer à Léopoldville (Kinshasa). Le groupe commence à se produire régulièrement au bar «Dancing Air France», chez Samuel Ebonge, un camerounais. C’est à l’époque l’un des hauts lieux de la place musicale du Congo. Parmi tous les musiciens de l’orchestre Negro Jazz, Jean Serge Essous, est le premier que Henri Bowane, réussit à faire signer un contrat aux éditions Loningisa, en tant Clarinettiste et musicien d’accompagnement. L’orchestre Negro Jazz n’a survécu que deux ans, avant sa dissolution, à Kinshasa en 1956.
Lors d’une prestation d’African Jazz de Joseph Kabasele, dit «Grand Kallé», au dancing club chez Faignond, l’orchestre Negro Jazz joue la première partie. Joseph Kabasele très satisfait de ces jeunes qui commencent dans le métier, en parle à son ami musicien et imprésario Henri Bowane à son retour à Léopoldville (Kinshasa). A l’époque, ce dernier est aussi manager artistique aux éditions Loningisa, chargé de découvrir les jeunes talents. Joseph Kabasele promet à Henri Bowane de le ramener de Brazzaville à son prochain concert.
En Janvier 1955 Joseph Kabasele et Henri Bowane se rendent comme prévu à Brazzaville. Henri Bowane constate de ses propres yeux, et propose à l’orchestre Negro Jazz, un contrat pour s’installer à Kinshasa. Tous les musiciens répondent favorablement, et tout l’orchestre décide de s’installer à Léopoldville (Kinshasa). Le groupe commence à se produire régulièrement au bar «Dancing Air France», chez Samuel Ebonge, un camerounais. C’est à l’époque l’un des hauts lieux de la place musicale du Congo. Parmi tous les musiciens de l’orchestre Negro Jazz, Jean Serge Essous, est le premier que Henri Bowane, réussit à faire signer un contrat aux éditions Loningisa, en tant Clarinettiste et musicien d’accompagnement. L’orchestre Negro Jazz n’a survécu que deux ans, avant sa dissolution, à Kinshasa en 1956.
Dates clés
-
1955
Henri Bowane propose à l’orchestre Negro Jazz, un contrat pour s’installer à Kinshasa. Le groupe commence à se produire régulièrement au bar «Dancing Air France», chez Samuel Ebonge, un camerounais. -
1956
Dissolution de l’orchestre « Negro Jazz » à Kinshasa.
L’orchestre « Negro Jazz »
Les membres de l’orchestre « Negro Jazz »
Joseph Kaba
Guitariste
Beniamino Bienvenu
Bruno Yengo
Emmanuel Galiba
Guy Léon Fylla
Direction
Très important :
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